Lors de l’arrivées de migrants dans l’abris PC de Marens en août 2015 j’ai très vite noué des contacts avec ces gens qui m’ont donnés de véritables leçon de vie et d’humanité. C’est donc tout naturellement que j’ai commencé à m’engager pour que les prochaines victimes de l’exil puissent être accueilli d’une manière plus digne et que la Ville qui m’a vu grandir fasse sa part et donne la chance à d’autres de prendre un nouveau départ.