L’occasion de rencontrer personnellement des demandeurs d’asile, de partager avec eux leurs histoires m’a fait prendre conscience qu’au-delà de la théorie, il y a la pratique. Il est temps d’être pratique et d’accueillir les réfugiers de manière optimale. C’est parce que je veux être acteur plutôt que spectateur que je m’engage pour que la ville de Nyon se dote d’un endroit digne de ce nom pour accueillir les exilés.